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Le couteau suisse de l’entreprise

Le Directeur des Systèmes d’Informations

 
Le Directeur des Systèmes d’Information (ou DSI) adapte le SI au service de l’activité économique de l’entreprise.
 

Le DSI : le couteau suisse de l’entreprise.

 
À la fois technicien, manager, mais aussi maitrisant parfaitement les métiers de l’entreprise, le Directeur des systèmes d’information est indispensable à l’évolution d’une société.
Le DSI doit définir et mettre en œuvre la politique informatique en accord avec la stratégie générale de l’entreprise. Il est le garant de la continuité du service informatique fourni aux utilisateurs internes et externes. Il pilote l’évolution du système d’information en lien avec les besoins métiers. Il est l’interlocuteur privilégié des directions administrative, prospective et métier.
 

Et votre entreprise dans tout ça ? Avez-vous besoin d’un DSI ? Que peut-il vous apporter ?

La dimension des enjeux varie avec la taille de l’entreprise. Le DSI peut encadrer une équipe conséquente de techniciens ou de chefs de projet. Mais il peut aussi être seul et apporter une dimension de conseil et de pilotage à la direction générale et aux directions métiers.
Il participe activement à la définition de la stratégie de l’entreprise et est fortement impliqué dans le processus d’organisation de l’entreprise.
Le Directeur de Systèmes d’information est le pilote des prestataires informatiques et télécoms extérieurs. La sélection et la négociation avec eux est une part importante de sa mission.
Dans beaucoup de TPE/PME, le SI est en décalage par rapport au développement économique de l’activité métier. Souvent pour des raisons de taille ou de budget, elles se laissent conseiller par leurs prestataires (logiciels, infrastructure, …).
La présence d’un DSI permet d’aligner le système d’information sur la vision business du dirigeant.

La plupart des TPE/PME confie la DSI au DAF, appuyé lui-même par des ressources internes ou des prestataires extérieurs. Les décisions clés, sous-tendues par des connaissances techniques, sont donc déléguées à des sociétés qui se retrouvent juge et parties.

Le DSI se doit d’avoir le « vernis métier », c’est-à-dire la compréhension des processus métiers impliqués ainsi que la connaissance des enjeux économiques de l’entreprise.
 

Pourquoi un DSI à temps partagé ?

• La réduction des coûts. Le DSI intervient de quelques jours par mois à plusieurs jours par semaine en fonction des besoins
• L’externalité par rapport au fonctionnement quotidien. Le DSI garde ainsi un œil neuf et le fait d’avoir de multiples clients enrichi son expérience et sa vision.
• Un DSI à temps partagé fait partie de l’entreprise, il est indépendant des fournisseurs.

Le temps partagé est une formule séduisante pour les entreprises. Elle offre de la souplesse. Les contrats sont flexibles, si le prévisionnel est en baisse, le temps prévu peut être réduit sans perdre la compétence. C’est un avantage concurrentiel prépondérant.